
PRÉSENTATION :


Bonjour,
Je m’appelle Christian Rocher, natif des Flandres françaises dans cette région du Nord, aujourd’hui appelée les Hauts-de-France. Je tiens à dire tout de suite que cette appellation ne me plaît pas du tout. J’y ai vécu presque quarante et une années. J’ai un parcours de salarié lambda, cependant j’ai essentiellement été agent de maîtrise dans la boulangerie et assistant-chef d’entreprise sur une grosse boulangerie de Paris 12e. Contraint d’arrêter la boulangerie traditionnelle, car « sniffer de la farine » tous les jours provoque des allergies – qui pour celles qui me concernent devenaient sévères – puis une pathologie de l’épaule qui a fini d’enfoncer le clou de ma carrière de boulanger. Je n’étais pas prédisposé à écrire un livre. À l’école, j’étais dans la moyenne, plutôt joyeux drille, toujours accompagné de sa bonne humeur. En classe, lorsque le cours ne m’intéressait pas, j’adorais confectionner des robots à partir de petits pots de colle et de ressorts de stylos. Vous avez peut-être connu ces pots de colle ronds avec une petite pelle à l’intérieur. Ça m’a souvent valu des punitions. À contrario, mes instituteurs, dont une directrice d’école, avaient remarqué que j’avais une très bonne propension pour la lecture. J’avais, selon leurs dires, le bon ton, une bonne élocution et, surtout, je marquais bien les ponctuations. La concubine de mon père disait de moi, je la cite : « Celui-là, ça sera l’avocat de la famille. » Sic. Toujours là pour défendre la veuve et l’orphelin, et ce dès mon plus jeune âge. Durant ma carrière professionnelle dans le Nord, j’ai été à la fois syndicaliste et conseiller prudhommal. C’est à partir de là et à force de rédiger des conclusions et/ou des jugements que mon français s’est beaucoup amélioré. Ça me plaisait bien. Je vous assure, il n’y a pas d’âge pour apprendre, il faut juste avoir la passion des choses. De ce fait, j’aime rédiger des rapports et faire des courriers circonstanciés. J’ai également fait un long séjour en Afrique, j’ai œuvré à ma manière pour une ONG locale sur place. Depuis une bonne vingtaine d’années, je réside en Île-de-France, le 91. Une petite bourgade verdoyante à la fois ville et campagne, la forêt de Sénart occupant 60 % de la commune.

MES PROJETS :
En dehors du livre qui est en cours de rédaction, j’ai deux autres projets de livre, dont un qui est presque fini. En termes littéraires, ce sera une chronique sur un meurtre raciste sur fond politico-associatif. Pour le moment, il est en jachère, j’ai encore des témoignages à recueillir et je dois rencontrer la famille de la malheureuse victime pour les droits à publier. Le second qui est complètement à l’état de projet sera un récit sur une sombre affaire de dénonciation calomnieuse dans le monde du travail. Des syndicalistes y sont impliqués. C’est également tiré de faits réels. Eh oui, il y a des brebis galeuses partout ! Sinon, ma carrière professionnelle prend fin, je vais enfin faire valoir mes droits à la retraite fin 2023. J’aurai fait quatre ans en plus. Carrière longue, pénibilité du travail et pathologies professionnelles passées me donnaient droit à un départ à soixante ans à taux plein. J’ai commencé à travailler à quinze ans et demi. Mais comme mon dernier emploi dans le médico-social depuis début 2017 est plutôt cool au regard de la boulangerie, je me suis permis de valider des trimestres de surcotes. Dans cette boite, j’ai également fait une très belle progression professionnelle.
MES PASSIONS :
Je suis routard, j’aime conduire et découvrir là où je vais en vacances, c’est-à-dire que je découvre tout ce qu’il y a à voir sur 300 km à la ronde de mon lieu de vacances. Discuter avec la population locale, je suis passe-partout, je m’adapte facilement aux gens. Côté livre, toute lecture me plaît, je suis plutôt éclectique dans ce domaine. Certes moins qu’auparavant, je continue cependant à lire les revues de droit et les jurisprudences, je trouve cela passionnant.
CÔTÉ CUISINE :
J’aime bien le côté épicé et pimenté de la cuisine africaine et antillaise, la cuisine italienne et, bien sûr, la gastronomie française. Je n’aime pas les fruits en dehors des ananas, groseilles et framboises.
Pour finir, j’ai agrémenté cette présentation de quelques photos de moi, de ma région. Si vous désirez me voir enfant, c’est à la page contact que vous verrez ma trombine. En aparté, ma plus jeune fille voit en moi, sur la photo, un côté Petit Gibus de La Guerre des Boutons. Je ne sais toujours pas à ce jour si elle le pense réellement ou si elle me taquine.

Je m’appelle Christian Rocher, natif des Flandres françaises dans cette région du Nord, aujourd’hui appelée les Hauts-de-France. Je tiens à dire tout de suite que cette appellation ne me plaît pas du tout. J’y ai vécu presque quarante et une années. J’ai un parcours de salarié lambda, cependant j’ai essentiellement été agent de maîtrise dans la boulangerie et assistant-chef d’entreprise sur une grosse boulangerie de Paris 12e. Contraint d’arrêter la boulangerie traditionnelle, car « sniffer de la farine » tous les jours provoque des allergies – qui pour celles qui me concernent devenaient sévères – puis une pathologie de l’épaule qui a fini d’enfoncer le clou de ma carrière de boulanger. Je n’étais pas prédisposé à écrire un livre. À l’école, j’étais dans la moyenne, plutôt joyeux drille, toujours accompagné de sa bonne humeur. En classe, lorsque le cours ne m’intéressait pas, j’adorais confectionner des robots à partir de petits pots de colle et de ressorts de stylos. Vous avez peut-être connu ces pots de colle ronds avec une petite pelle à l’intérieur. Ça m’a souvent valu des punitions. À contrario, mes instituteurs, dont une directrice d’école, avaient remarqué que j’avais une très bonne propension pour la lecture. J’avais, selon leurs dires, le bon ton, une bonne élocution et, surtout, je marquais bien les ponctuations. La concubine de mon père disait de moi, je la cite : « Celui-là, ça sera l’avocat de la famille. » Sic. Toujours là pour défendre la veuve et l’orphelin, et ce dès mon plus jeune âge. Durant ma carrière professionnelle dans le Nord, j’ai été à la fois syndicaliste et conseiller prudhommal. C’est à partir de là et à force de rédiger des conclusions et/ou des jugements que mon français s’est beaucoup amélioré. Ça me plaisait bien. Je vous assure, il n’y a pas d’âge pour apprendre, il faut juste avoir la passion des choses. De ce fait, j’aime rédiger des rapports et faire des courriers circonstanciés. J’ai également fait un long séjour en Afrique, j’ai œuvré à ma manière pour une ONG locale sur place. Depuis une bonne vingtaine d’années, je réside en Île-de-France, le 91. Une petite bourgade verdoyante à la fois ville et campagne, la forêt de Sénart occupant 60 % de la commune.


MES PROJETS :
En dehors du livre qui est en cours de rédaction, j’ai deux autres projets de livre, dont un qui est presque fini. En termes littéraires, ce sera une chronique sur un meurtre raciste sur fond politico-associatif. Pour le moment, il est en jachère, j’ai encore des témoignages à recueillir et je dois rencontrer la famille de la malheureuse victime pour les droits à publier. Le second qui est complètement à l’état de projet sera un récit sur une sombre affaire de dénonciation calomnieuse dans le monde du travail. Des syndicalistes y sont impliqués. C’est également tiré de faits réels. Eh oui, il y a des brebis galeuses partout ! Sinon, ma carrière professionnelle prend fin, je vais enfin faire valoir mes droits à la retraite fin 2023. J’aurai fait quatre ans en plus. Carrière longue, pénibilité du travail et pathologies professionnelles passées me donnaient droit à un départ à soixante ans à taux plein. J’ai commencé à travailler à quinze ans et demi. Mais comme mon dernier emploi dans le médico-social depuis début 2017 est plutôt cool au regard de la boulangerie, je me suis permis de valider des trimestres de surcotes. Dans cette boite, j’ai également fait une très belle progression professionnelle.
MES PASSIONS :
Je suis routard, j’aime conduire et découvrir là où je vais en vacances, c’est-à-dire que je découvre tout ce qu’il y a à voir sur 300 km à la ronde de mon lieu de vacances. Discuter avec la population locale, je suis passe-partout, je m’adapte facilement aux gens. Côté livre, toute lecture me plaît, je suis plutôt éclectique dans ce domaine. Certes moins qu’auparavant, je continue cependant à lire les revues de droit et les jurisprudences, je trouve cela passionnant.
CÔTÉ CUISINE :
J’aime bien le côté épicé et pimenté de la cuisine africaine et antillaise, la cuisine italienne et, bien sûr, la gastronomie française. Je n’aime pas les fruits en dehors des ananas, groseilles et framboises.
Pour finir, j’ai agrémenté cette présentation de quelques photos de moi, de ma région. Si vous désirez me voir enfant, c’est à la page contact que vous verrez ma trombine. En aparté, ma plus jeune fille voit en moi, sur la photo, un côté Petit Gibus de La Guerre des Boutons. Je ne sais toujours pas à ce jour si elle le pense réellement ou si elle me taquine.

