Des vies morcelées, un livre à paraître fin 2025 catégorie « Drame familial tiré de faits réels » :

Nous sommes à l’aube du dernier cinquième du 20e siècle lorsque Pierre (prénom d’emprunt) passe la bague au doigt de sa femme. Il rêve alors d’une famille heureuse et unie. Il voulait surtout le parfait contraire de celle dont était issu son père : une famille totalement cabossée par une fatale destinée dans les années 30. Pierre ne le savait pas encore, mais c’était un vœu pieux ! La dissolution de son couple était latente depuis plusieurs années. Elle verra le jour au décès du 20e siècle, charriant avec elle les mensonges, la rumeur, les complots, y compris la vengeance par procuration, dont les séquelles sont encore très présentes à ce jour. Il lui arrive très souvent, en fermant les yeux, de se faire une rétrospective de son passé. Surgissent alors de ses pensées poussiéreuses et traumatisantes, les images de ces machinations qui eurent lieu dans ce huis clos familial de l’époque. Il n’arrive toujours pas à faire le deuil de la violence qu’il a vécue dans cette affaire passée et des contrecoups toujours présents qui, pourtant, ne sont rien au regard de la violence psychologique subie par les enfants. Dans Des vies morcelées (le livre), Pierre, le personnage principal, replacera de manière anonymisée chaque élément de cette sombre affaire à sa juste place, faisant ainsi la nique aux persifleurs de toute nature et aux pochards qui lançaient des remarques de manière plus ou moins sibylline à l’endroit de Pierre. L’essentiel, pour ce dernier, c’est de replacer la vérité et son honneur en dehors de cette logorrhée verbale maternelle nauséabonde qui n’a jamais vraiment cessé. Dès lors, un style a été créé par cette dernière, laissant la place au mimétisme deux décennies plus tard ! Pierre a dû mener un combat, d’abord contre lui-même pour rester debout, mais également contre l’injustice, les coups bas et les mensonges à répétition de cette mère aujourd’hui parfaitement désavouée, tant dans sa manière de faire que dans ses propos. L’affaire s’est déroulée dans une petite ville située dans les Hauts-de-France. Mais à propos, quid des enfants dans tout ça ? C’est à découvrir dans le livre à paraître…
Ce site web sert uniquement de support pour le livre à paraître vers la fin 2025, dont le récit traite d’un drame familial et de l’atomisation d’une fratrie.
À bientôt donc pour découvrir ce récit tiré d’une histoire vraie qui vous entraînera dans le début des années 80 jusqu’à ce jour avec quelques intrusions dans les années 30, 40 et 50 !

À PROPOS :

Souvenirs de Carthagène 2022

(1) Je m’appelle Christian Rocher, natif des Flandres françaises dans cette région du Nord, aujourd’hui appelée les Hauts-de-France, j’y ai vécu presque quarante et une années. J’ai un parcours de salarié lambda, cependant j’ai essentiellement été agent de maîtrise dans la boulangerie et assistant-chef d’entreprise sur une grosse boulangerie de Paris 12e. Contraint d’arrêter la boulangerie traditionnelle, car « sniffer de la farine » tous les jours provoque des allergies – qui pour celles qui me concernent devenaient sévères – puis une pathologie de l’épaule qui a fini d’enfoncer le clou de ma carrière de boulanger. Je n’étais pas prédisposé à écrire un livre. À l’école, j’étais dans la moyenne, plutôt joyeux drille, toujours accompagné de sa bonne humeur. En classe, lorsque le cours ne m’intéressait pas, j’adorais confectionner des robots à partir de petits pots de colle et de ressorts de stylos. Vous avez peut-être connu ces pots de colle ronds avec une petite pelle à l’intérieur. Ça m’a souvent valu des punitions. À contrario, mes instituteurs, dont une directrice d’école, avaient remarqué que

2000-2001 Afrique-Cameroun-Pygmées

(2) j’avais une très bonne propension pour la lecture. J’avais, selon leurs dires, le bon ton, une bonne élocution et, surtout, je marquais bien les ponctuations. La concubine de mon père disait de moi, je la cite : « Celui-là, ça sera l’avocat de la famille. » Sic. Toujours là pour défendre la veuve et l’orphelin, et ce dès mon plus jeune âge. Durant ma carrière professionnelle dans le Nord, j’ai été à la fois syndicaliste et conseiller prudhommal. C’est à partir de là et à force de rédiger des conclusions et/ou des jugements que mon français s’est beaucoup amélioré. Ça me plaisait bien. Je vous assure, il n’y a pas d’âge pour apprendre, il faut juste avoir la passion des choses. De ce fait, j’aime rédiger des rapports et faire des courriers circonstanciés. J’ai également fait un long séjour en Afrique, j’ai œuvré à ma manière pour une ONG locale sur place. Depuis une bonne vingtaine d’années, je réside en Île-de-France, en Essonne. Une petite bourgade verdoyante à la fois ville et campagne, dans laquelle serpente l'Yerres et où se trouve la forêt de Sénart qui occupe 60 % du territoire de la commune.

2006, tournage du film contre-enquête. Pause repas

(3) MES PROJETS : En dehors du livre qui est en cours de rédaction, j’ai deux autres projets de livre, dont un qui est presque fini. En termes littéraires, ce sera une chronique sur un meurtre raciste sur fond politico-associatif. Pour le moment, il est en jachère, j’ai encore des témoignages à recueillir et je dois rencontrer la famille de la malheureuse victime pour les droits à publier. Le second qui est complètement à l’état de projet sera un récit sur une sombre affaire de dénonciation calomnieuse dans le monde du travail. Des syndicalistes y sont impliqués. C’est également tiré de faits réels. Eh oui, il y a des brebis galeuses partout ! Sinon, ma carrière professionnelle prend fin, je vais enfin faire valoir mes droits à la retraite dans le premier trimestre 2024. J’aurai fait quatre ans en plus. Carrière longue, pénibilité du travail et pathologies professionnelles passées me donnaient droit à un départ à soixante ans à taux plein. J’ai commencé à travailler à quinze ans et demi. Mais comme mon dernier emploi dans le médico-social depuis début 2017 est plutôt cool au regard de la boulangerie, je me suis permis de valider des trimestres de surcotes. Dans cette boite, j’ai également fait, non sans mal, une très belle progression professionnelle, cependant mon parcours dans cette entreprise est un peu à l'image de Koh-Lanta au regard des épreuves subies.

De gauche à droite, mon frère et moi. Photo de fin 1964

(4) MES PASSIONS : Je suis routard, j’aime conduire et découvrir là où je vais en vacances, c’est-à-dire que je découvre tout ce qu’il y a à voir sur 300 km à la ronde de mon lieu de vacances. Discuter avec la population locale, je suis passe-partout, je m’adapte facilement aux gens. Côté livre, toute lecture me plaît, je suis plutôt éclectique dans ce domaine. Certes moins qu’auparavant, je continue cependant à lire les revues de droit et les jurisprudences, je trouve cela passionnant.

CÔTÉ CUISINE : J’aime bien le côté épicé et pimenté de la cuisine africaine et antillaise, la cuisine italienne et, bien sûr, la gastronomie française. Je n’aime pas les fruits en dehors des ananas, groseilles et framboises.

Pour finir, j’ai agrémenté cette présentation de quelques photos de moi, de ma région. En aparté, ma plus jeune fille voit en moi, sur la photo, un côté Petit Gibus de La Guerre des Boutons. Je ne sais toujours pas à ce jour si elle le pense réellement ou si elle me taquine.

Ma devise : Nemo me impune lacessit.

Toet een naeste keër schoon meulen :
À la prochaine fois joli moulin

Un pur estaminet Flamand "Het Blauwershof".
Het Blauwershof = Le repaire des fraudeurs

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