À chacun sa passion, la mienne est l'écriture, que je pratique depuis longtemps. Cependant, le temps dans ma vie surmenée, mais ô combien agréable, de "papa solo" me faisait défaut. Mon prochain projet d'écriture portera sur une sombre affaire dans le monde du travail, "tirée d'une histoire vraie". Ce n'est pas un cas isolé ; de nombreux salarié(e)s souffrent des conséquences d'un management acerbe, cassant, parfois tendancieux. Carlos GHOSN pourtant pas reconnu pour être gauchiste, avait l'habitude de dire : [...Le manager trop mou et le manager trop dur sont deux catastrophes pour l'entreprise...] Donc, partant de cette citation, il convient de dire que le mauvais management est une catastrophe pour l'entreprise ! Fin et conclusion.
La retraite étant arrivée, je vais pouvoir consacrer mon temps libre à mes enfants, à mon bien-être, à quelques voyages, ainsi qu'à l'écriture, que j'adore. D'ailleurs, j'écris mieux dans le silence de la nuit, lorsque tout est plus calme et propice à l'imagination.
LE TITRE DE MON FUTUR RÉCIT :
■ 𒈝𒈝LA COALITION DES FOURBES : Les artisans du mensonge
(Titre non contractuel, susceptible d’être modifié à tout moment.)
Un livre à paraître 1er trimestre 2027 catégorie « Fait de société - Monde du travail-Management : tiré de faits réels » :
Synopsis :
Jean, la quarantaine, n’était pas un homme d’exception. Juste un salarié anonyme dans les méandres d’un groupement associatif, où les visages des salarié(e)s se confondent dans une morosité ambiante, le tout baignant dans un turn-over croissant. Mais derrière l'apparence ordinaire de Jean, se cachait une détermination féroce. Peu de temps après son embauche, et grâce à l’appui inattendu de la directrice par intérim de l'époque, il avait réussi par son travail, à s’extirper des ténèbres, passant d’un contrat précaire à une promotion éclatante, assortie d’une augmentation de salaire importante qui, dans un contexte de stagnation sociale interne, ne faisait qu’attiser les jalousies sournoises. Le succès est un poison, un poison mortel, que Jean apprendra à ses dépens. Plutôt que d’être félicité par ses pairs, Jean se retrouve pris au piège d’un jeu vicieux. Ses collègues, les visages marqués par la rancœur, l’observent avec un mélange de haine, de jalousie et de mépris. À cela s'ajoute une secrétaire, désabusée par la monotonie de sa vie, qui distille volontairement des ragots à quiconque veut bien les entendre, dans le but de discréditer Jean aux yeux de ses collègues. La direction générale, mécontente de la fulgurante ascension de Jean, se réunit dans l'ombre, ourdissant des complots pour détruire celui qui osait briller. L’augmentation de salaire, qualifiée d’inacceptable par des supérieurs déstabilisés, devient l’étincelle d’un incendie latent. Chaque année, Jean devait faire face à diverses attaques et provocations ciblées. Il devient la cible à abattre, l’homme à détruire. Une simple affaire – une palette de produits d’entretien non déchargée – est montée en épingle et manipulée puis transformée en une machination diabolique. Des alliés improbables se dressent contre lui : Une employée complice et un syndicat, plus préoccupé par son image que par la justice sociale au sein de l'établissement, s'unissent pour divulguer à la direction des correspondances privées, et surtout à caractère extraprofessionnel. Cette initiative déclenche la circulation de rumeurs, plongeant Jean dans un profond abîme de honte et d’angoisse. À cela s’ajoute l’indifférence d’un nouveau directeur, qui choisit délibérément de laisser la situation s’aggraver. Quelques années plus tard, deux chefs de service, imprégnés d'orgueil et animés par une soif de pouvoir, se placent comme les principaux informateurs du nouveau directeur, afin de médire sur des salarié(e)s n'appartenant pas à leurs services respectifs. Jean ressent chaque jour un peu plus le poids de l'isolement qui s'abat sur lui. Les murs se resserrent, il se retrouve face à l'apogée de l'absurdité dans un système managérial gangréné de longue date par le harcèlement interne implacable. La pathologie professionnelle de Jean, pourtant attestée par la CPAM et la médecine du travail, est balayée d’un revers de main, ignorée par une direction obsédée par l’idée de le déstabiliser. Alors qu’il pensait avoir touché le fond en 2019, l’année 2023 lui réserve un nouveau coup du sort : des accusations dévastatrices, lâchées comme des balles de revolver, fusent de toutes parts dans le bureau, transformé en tribunal pour l’occasion, Jean est étourdi, hébété, figé dans un choc amer. Désespéré mais résolu, il se tourne vers le DRH, sa voix tremblante mais emplie de rage, annonçant que l’affaire sera portée devant la justice. Lors de la restitution de l’enquête interne, le temps se fige. L'un des deux chefs de service, avec un regard fuyant, désigne, comme pour se dédouaner ou se donner bonne conscience, le salarié qui s'était plaint de la prétendue inertie de Jean avant son arrêt maladie. La tension monte. L'angoisse de Jean explose en une tempête de terreur. Il est désormais un homme piégé par un système devenu son bourreau...
■ Quelle issue attend Jean dans cette lutte désespérée, où les ombres se resserrent autour de lui ?
■ Quelle sera le rôle du syndicat cette fois ?
À bientôt donc pour découvrir ce récit tiré d’une histoire vraie où tout les coups sont permis !
• Sortie prévue : à la fin du 1er trimestre 2027.
• Nombre de pages estimées : ± 140 pages.
Article publié le 01/11/2024 à 12 h 30.